Chez Pascale et Stéphane, notre objectif concernait 60 m² divisés en deux pièces, l’une recouverte d’un sol chauffant et l’autre pas… mais dotée d’un escalier, histoire de nous compliquer la tâche…
Ils avaient déjà fait l’enrobage des tubes, il nous restait à poser les règles de guidage puis les carreaux.
Georges, Séverine, Quentin, Jean-Charles, Cathy, Mickaël et Benoît étaient venus prêter main forte et c’est plein d’enthousiasme que nous avons démarré.
L’installation de la bétonnière et des rampes d’accès nous permet de très vite réaliser nos guides
puis nos premières lignes, côté jardin, à partir de la baie vitrée pour une première équipe de poseurs
côté entrée, sous l’escalier pour la seconde équipe.
Et comme toujours, le samedi soir, nous avons peu mais bien progressé. Environ 12 m²…
Mais comme toujours également, le dimanche s’est avéré beaucoup plus fructueux même si Jean-Charles et Cathy ont laissé leur place à Théo et à Patou qui découvraient la technique.
Reprise sans souci. Et pendant que les uns posent, d’autres brossent les joints de la veille. Très rapidement d’ailleurs, nous arrêtons de continuer à les remplir dans la mesure où les propriétaires ne pourront pas tous les brosser en temps voulu.
Dimanche à 18h, après le départ échelonné des participants, il ne manque que 7 m² que nous réalisons, Quentin et moi, avec l’aide précieuse de Stéphane et Patou, histoire de finaliser les deux pièces.
Une bonne chose de faite, non ??? 🙂
Bravo à tous les courageux stagiaires.
Merci beaucoup à Stéphane et Pascale pour leur accueil et félicitations à Pascale et Annabelle pour leurs plantureux repas !
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Par Cap-Hilarité
Le Bon Jour,
Je n’ai pas du tout saisi l’enthousiasme au démarrage du chantier en Arbois?!!!
Ses Vœux Riz Nœud.
Ah Séverine !
eh eh eh ! Même à toi, la chaux a su te séduire. Ca t’a pris par les pieds et par capillarité, c’est remonté jusqu’à ta tête… Séduite je te dis !!! 🙂
Séduite par la tomette.
Au démarrage du chantier, j’avais les joues bien rosées.(« Et Pim’ 2 alexandrins d’affilée?!!). Poète je suis et « maçonneuse?! » je me découvre! Le rose poudré sur mes joues n’était pas dû à un excès de blush (« ça s’maquille po une maçonneuse?!), ni à la fraîcheur matinale (très rare dans le Jura?!)…mais bel et bien par une alchimie entre ma personne et les matériaux. Mes pommettes étaient couleur tomette, l’humour aussi corrosif que la chaux, la gaieté opérait par Cap-Hilarité, des liens d’amitié à coup de taloche, une horloge biologique réglé par la bétonnière…,Bref, une mine réjouie par les enduits et un corps talé par les rires enjoués!
A te revoir pour le couloir Monique?! (« Putain Séverineuh! »)
Ses Vœux Riz Nœud.