Chantier réalisé : le pignon chez Christine et Lionel (71)

Christine est une habituée des chantiers participatifs. Elle a participé à 6 d’entre eux avec moi… toujours volontaire et courageuse.

Le pignon Est de la maison qu’elle partage avec Lionel méritait autre chose que ce vieil enduit décati.

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Décision prise : le chantier d’un enduit traditionnel devenait essentiel. Christine et Lionel l’ont préparé avec attention et efficacité. Ici le travail de prépa qui a consisté à remplir les fissures.

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Puis le gobetis : j’ai demandé à ce qu’une partie ne soit pas faite de façon à ce que les stagiaires puissent le réaliser en découvrant la technique.

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Voilà donc que le samedi nous sommes tous les trois renforcés par une équipe fort nombreuse : Vincent, Frank, Virginie, Bertrand, Nathalie, Frédéric, Gabrielle, Pierre, Mathieu, Vincent, Dominique et Christian avec Marie-Yvonne à l’intendance.

Après un petit pôint technique, début des bétonnières pour faire le gobetis

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qui prend vite corps juste avant le repas.

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Dès le début de l’après-midi, chacun prend sa place. En fin de journée, nous avons réalisé les 2/3 des 60 m² du pignon.

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Le lendemain nous sommes bien moins nombreux mais le matin, nous nous attaquons à la suite avec la ferme intention de terminer rapidement car le temps menace…

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Malheureusement, vers midi, la pluie arrive et ne s’arrête plus alors qu’il ne reste que 6m²… Nous sommes donc contraints de bâcher la façade afin qu’elle ne reçoive pas l’eau amenée par le vent d’Est… Quelle déception !

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Merci !! Merci à tous ceux qui se sont décarcassés pour faire le maximum le samedi, merci aux volontaires du dimanche malgré la pluie.

Merci à Marie-Yvonne et à Lionel pour l’intendance et les délicieux repas et merci à Christine pour la préparation de tout cela.

Pour la suite, rendez-vous sur le blog de Christine : http://travaux-maison.chris054.over-blog.com/article-pignon-prepa-du-chantier-106268511.html

 

Les anciens bâtisseurs étaient des éco-constructeurs et leurs savoir-faire ont failli disparaître ! Mon goût pour la transmission est le fil rouge de ma vie professionnelle. Comment, alors, lorsqu’on détient ne serait-ce qu’un peu de ces savoirs inestimables, ne pas les diffuser au plus grand nombre ?

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