Chantier réalisé : les deux premières couches d’enduit chaux chez Laurence et Alex (45)

En ce long week-end de Pâques, d’aucuns avaient prévu la pluie… et je craignais que mon surnom de "petit nuage" ne fusse (à nouveau) justifié ! Mais que nenni !!!

Bref, en ce samedi matin ils étaient nombreux à vouloir faire les deux premières couches de cet enduit traditionnel à la chaux sur la longue façade de 156 m² de la maison de Laurence et Alex : Bruno, Jérôme, Aurélie, Mathias, Ivana, Cécile, Marie, Loïc, Dominique et Guillaume.

A peine le point technique terminé, tout le monde s’empresse de se mettre en place pour envoyer le gobetis. Et nous voilà l’attaquant par la droite. 

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Et puis, il faut de l’énergie… parce qu’il y a tout le reste !!!

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Fin de la journée : voilà qui est fait ! Et je trouve Chamallow bien beau en chien de domaine… 🙂

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Dimanche, toujours pas de pluie. On prend les mêmes, on y ajoute Cathy et Marc et on se lance dans le corps d’enduit.
 
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Dimanche soir, tout le fond à droite est terminé, à part quelques finitions autour des jambages, et une grande partie de ce qui reste est entamé.

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Tant mieux parce que nous perdons Ivana, Cécile, Marie et Marc en ce lundi de Pâques férié.

Avec détermination et toujours au sec, malgré le ciel menaçant, le reste de la troupe se met au travail, à la bétonnière qui fournit en permanence,

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et sur les échafaudages et aux finitions.

 

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Vers 16h, il semble très probable que nous finirons dans les temps.
 
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Prévisions vérifiées à 18h 30 (pas comme celles de la météo) : objectif atteint !!!
 
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Franchement très forts ! Je suis très fière de vous tous, courageux stagiaires !!! D’autant que comme toujours, la bonne humeur était au rendez-vous…
Nous ferons l’enduit de finition sur le long week-end du 14 Juillet. Avis aux amateurs !
Merci encore et toujours à Laurence épaulée de Geneviève et Léa qui nous ont traités comme des coqs en pâte…. 🙂

Les anciens bâtisseurs étaient des éco-constructeurs et leurs savoir-faire ont failli disparaître ! Mon goût pour la transmission est le fil rouge de ma vie professionnelle. Comment, alors, lorsqu’on détient ne serait-ce qu’un peu de ces savoirs inestimables, ne pas les diffuser au plus grand nombre ?

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